Une soirée tranquille... ou pas(pv: Ludovic de Bourgogne)

Alban marchait dans les rues de Paris tranquillement, à moitié perdu dans ses pensées, se laissant guider par son intuition. Il fessait encore assez clair en cette soirée d'été et les activités ne cesserait certainement que dans quelques heures. Un sourire se forma sur le visage du sous-lieutenant. Il venait de terminer sa garde au Louvre et avait l'intention de passer sa soirée dans un quelque conque endroit autre que chez lui. Depuis un ans bien des choses avait changé. Le capitaine Jean de Vieilchastel avait démissionné(si le capitaine Hercule-Louis de Bérard de Montalet Vestric savait cela il se retournerait dans se tombe! Paix à son âme...)et le capitaine de Troisville avait été nommé. Il avait prouvé sa valeur au cours des derniers mois et avait réussi le tour de force qui était de gagner l'admiration et le respect de ces mousquetaire. Alban avait bien de la considération pour le comte et espérait qu'il resterait le capitaine qu'il avait commencé à montrer qu'il était, soit un capitaine sévère, mais juste. Il réussirait certainement à faire obéir ces mousquetaires. Le sous-lieutenant poussa la porte d'une taverne de sa connaissance qu'il fréquentait à l'occassion. Ce commerce fréquenté par plusieurs mousquetaires n'était pas le plus tranquille de Paris, au contraire, mais il était accueillant. Le jeune homme entra dans la batîsse. Elle était remplie et bruyante, comme à son habitude. Alban repéra quelques mousquetaires qui le saluèrent. Il leur répondit d'un léger mouvement de tête. Il allait se diriger vers une table innocupé lorsqu'il aperçut Ludovic de Bourgogne. Le jeune homme s'était joint à la compagnie des mousquetaires dernièrement. Alban ne lui avait pas beaucoup parlé depuis son arrivé. Le jeune mousquetaire en se moment était seul à sa table et semblait préoccupé. Alban se dirigea vers son camarade, souriant et s'arrêta à côté de lui. Ludovic ne l'avait même pas aperçut.

- Et bien mon ami, les gardes du cardinal vous aurait-il malmené? Lui demanda-t-il.

C'était devenu une habitude chez les mousquetaires de railler les gardes de son emminence.

- Vous permettez que je m'asseoit avec vous? Demanda ensuite Alban en montrant la chaise libre devant le jeune homme.

Ludovic était assis à une table depuis dieu sait combien de temps, mais il était certain que cela faisait quelques heures. Il avait fait expirés pour s'assoir à une table éloigné, car il ne désirait pas être dérangé. De toute façon personne ne venait le voir, personne ne semblait l'avoir remarqué même, et le jeune homme était seul à ruminer sa mauvaise journée. Là, au moins à la taverne il était tranquille et on le laissait en paix.

- Et bien mon ami, les gardes du cardinal vous aurait-il malmené?

Ludovic leva les yeux, puis la tête.

- Vous permettez que je m'asseoit avec vous? Demanda ensuite Alban en montrant la chaise libre devant le jeune homme.

Ludovic regarda la chaise vide lui aussi. Puis il regarda le mousquetaire. Puis de nouveau la chaise. Il s'esclaffa ensuite en secouant la tête sans trop savoir pourquoi, surement pour se ramener à la réalité, car il était vrai qu'il était partit très loin et depuis longtemps.

- Évidement, prenez place! Répondit le jeune homme finalement à son supérieur. 

- Les gardes du cardinal? Jamais je ne les laisserais malmener qui que ce soit, et surtout pas moi-même. Si cela se trouve, ce serait davantage moi qui les ai malmené, rajouta ensuite Ludovic en référence aux premières paroles du sous-lieutenant.

Alban regarda, intrigué le jeune mousquetaire qui l'avait enfin remarqué et qui semblait partit depuis longtemps dans ses pensées.

- Évidement, prenez place! Répondit finalement le jeune homme en s'esclaffant.

Alban tira la chaise et s'assit posant son regard sur le jeune homme.

- Les gardes du cardinal? Jamais je ne les laisserais malmener qui que ce soit, et surtout pas moi-même. Si cela se trouve, ce serait davantage moi qui les ai malmené, rajouta ensuite Ludovic en référence aux premières paroles du sous-lieutenant.

Un sourire se dessina sur le visage d'Alban. C'était donc ça...

- Et bien si ces les représailles de notre cher cardinal que vous redoutez, ne vous en faites plus. Il n'y a pas un mousquetaires qui n'aient déjà fait querelle aux gardes et encouru le gourou de Richelieu. Si le ministre dirige la France, le roi dirige les mousquetaires et Tréville les protègent.

Alban se tourna ensuite vers le tavernier et lui fit signe d'ammener une bouteille et deux verres.

- C'est moi qui régalent. Dit-il en souriant à Ludovic lorsque le tavernier apporta une bouteille de vin.

Le sous-lieutenant remplit ensuite les deux verres.

- Racontez-moi donc ce qui est arrivé! Qu'avez-vous donc fait subir aux pauvres gardes de son éminence pour que cela vous taraude à ce point? Demanda ensuite le sous-lieutenant vaguement amusé.

- Et bien si ces les représailles de notre cher cardinal que vous redoutez, ne vous en faites plus. Il n'y a pas un mousquetaires qui n'aient déjà fait querelle aux gardes et encouru le gourou de Richelieu. Si le ministre dirige la France, le roi dirige les mousquetaires et Tréville les protègent. 

Alban se tourna ensuite vers le tavernier et lui fit signe d'ammener une bouteille et deux verres.

- C'est moi qui régalent. Dit-il en souriant à Ludovic lorsque le tavernier apporta une bouteille de vin.

Le sous-lieutenant remplit ensuite les deux verres.

- Racontez-moi donc ce qui est arrivé! Qu'avez-vous donc fait subir aux pauvres gardes de son éminence pour que cela vous taraude à ce point? Demanda ensuite le sous-lieutenant vaguement amusé.

Ludovic secoua la tête. Alban ne comprennait donc pas...mais comment pourrait-il de toute façon? Le jeune mousquetaire prit une grande gorgée de vin. D'accord, il allait lui raconter.

- Il ne s'est pas produit grand chose, un simple conflit comme à tous les jours, depuis que je suis ici que j'ai des semblant d'ennuis avec le cardinal et ses gardes tout le temps, je ne redoute pas les représailles. Mais je vais vous dire ce qui me tourmente, j'ai appris aujourd'hui le mort d'un être qui m'était cher. Ma grand-mère est décédée il y a quelques jours, expliqua Ludovic.

Il s'apprêtait à rajouter autre chose, mais il entendit un cri provenant de l'extérieur. Un cri qui lui semblait quelque peu familier...mais c'était impossible. Néanmoins, le jeune homme sauta sur ses pieds et courut vers la source du bruit, se réveillant enfin totalement.

Paris... La capitale de la France. La maison du roy. Une ville qui regroupait tout les aspects de la vie sociale de l'époque. Autant la grande Paris pouvait être magnifique et riche, elle était aussi désolément pauvre. Autant, elle comptait les plus beaux palais: le Louvre, le palais cardinal... et les plus beaux hôtel privés, elle comptait nombre de taudis en bien plus grande quantité. C'était sur ces pensées qu'Éris de Bourgogne marchait seule dans la capitale en cette nuit de l'année 1634. Elle s'aventurait pour la première fois dans les quartier ''rustre'' de Paris. Elle était déjà venu plusieurs fois dans la ville en compagnie de ces parents et de son frère, mais elle n'était jamais sortit ainsi pour s'aventurer dans ces ruelles sombre qu'elle arpentait en se moment et surtout... Elle n'était jamais sortit marcher la nuit dans la ville. Cependant, la jeune fille ne s'inquiétait pas outre mesure. Elle n'était pas trouillarde de nature et espérait seulement ne pas tomber sur mauvaise compagnie. Compagnie qui était visiblement nombreuse en cette soirée... Éris soupira intérieurement en continuant de marcher. Elle n'allait pas accélérer, ce serait la meilleure chose pour se faire remarquer, bien qu'elle aurait voulu arriver au plus vite à destination. Elle se rendait à l'hôtel des mousquetaires, la maison du comte de Troisvilles, surnommer comte de Tréville. La jeune fille s'arrêta en entendant des bruits de pas derrière elle.

- Alors gamine, on se promène seule? C'est dangereux de sortir ainsi la nuit tu sais?

Éris se retourna et vit un homme, apparemment soûl mort, qui lui fessait face. Elle posa son regard sur lui et remarqua alors trois autres homme, derrière qui avait jusqu'alors été caché à son regard par la noirceur. La jeune fille sentit une légère angoisse croitre en elle, mais elle garda son calme. Laisser la peur s'emparer d'elle ne l'amènerait cas faire des erreurs. Elle recula néanmoins d'un pas sans s'en rendre compte lorsqu'elle vit l'homme avancer. Un sourire carnassier apparut sur le visage du soldat et Éris le fusilla du regard.

- Allons, n'ait pas peur petite, je ne vais pas te faire de mal... Lâcha-t-il avant d'éclater d'un rire gras.

Éris recula encore et jeta un regard derrière. Elle ne pourrait rien faire pour tenir tête à ces quatre hommes seule... Le ''chef'' du groupe aperçut son regard et arrêta de rire. Il s'approcha aussitôt d'Éris et avant qu'elle puisse faire un geste pour fuir il l'attrapa.

- Lâchez-moi! S'écria-t-elle en se débattant.

Elle donna un coup de genou à l'homme qui lui fit lâcher prise et recula hors de sa portée, mais ces trois compagnons réagirent et l'encerclèrent. Elle été pris...

Ludovic secoua la tête, visiblement découragé.

- Il ne s'est pas produit grand chose, un simple conflit comme à tous les jours, depuis que je suis ici que j'ai des semblant d'ennuis avec le cardinal et ses gardes tout le temps, je ne redoute pas les représailles. Mais je vais vous dire ce qui me tourmente, j'ai appris aujourd'hui le mort d'un être qui m'était cher. Ma grand-mère est décédée il y a quelques jours, expliqua Ludovic.

Alban prit une gorgée de vin et reposa son verre en posant son regard sur Ludovic. La vie... Des fois sources de joie, souvent source de tristesse... Il allait répondre au jeune homme, lui faire ces condoléances, lorsqu'un cris, provenant de l'extérieur se fit entendre. Le mousquetaire sauta aussitôt sur ses pieds et, quittant ces pensées, fonçant vers l'extérieur suivit de Ludovic. Il tourna un coin et arriva à la source du bruit. Quatre homme, visiblement soûl mort, était entrain de malmener une jeune fille. Alban jeta un regard à Ludovic avant de s'approcher du groupe, une main sur son épée.

- Et bien, messieurs, que vois-je? vous malmenez une enfant? Allons! Circulez et laissez la tranquille! Lâcha Alban en s'arrêtant à quelque pas du groupe.

Un des hommes qui venait apparemment de recevoir un mauvais coup se tourna vers le sous-lieutenant, en colère.

- Nous avons des comptes à régler. Répondit l'homme, d'un ton froid. Laissez nous faire.

- Vous avez des comptes à régler avec cette gamine, cette enfant? Voyons, soyez gentilhomme, quatre homme adulte contre une jeune fille.

L'homme grogna, visiblement achâlé par le contre-temps que représentait le jeune officier.

- Vous l'aurez voulu. Grommela-t-il.

Il sortit son épée imité par deux de ses hommes. Alban sortit aussitôt son épée, prêt à combattre.

Ludovic sortit dehors en trombe et vit quatre hommes ivres entrain de malmener...sa soeur? Éris? C'était pourtant impossible, il devait la confondre avec une autre gamine.

- Et bien, messieurs, que vois-je? vous malmenez une enfant? Allons! Circulez et laissez la tranquille! Lâcha Alban en s'arrêtant à quelque pas du groupe.

Ludovic remarqua alors pour la première fois la présence de sous-lieutenant ce qui n'avait rien d'étonnant. Ils étaient deux mousquetaires contre quatre hommes souls. Cela allait s'avérer intéressant...

La jeune fille se tourna alors vers eux, dévoilant son visage.

- Éris! S'écria Ludovic en reconnaissant sa petite soeur.

C'était donc réellement elle... 

Sans prendre garde aux quatre hommes qui avaient sortis les armes, le jeune mousquetaire se jeta au devant en bousculant les agresseurs d'Éris pour aller serrer celle-ci dans ses bras.

- Que fais-tu ici ma soeur? Demanda Ludovic avec étonnement.

Le jeune homme lança ensuite un regard sur le côté et vit sur le mur, l'ombre d'un des hommes qui élevait son épée au dessus de lui. Ludovic réagit en vitesse et bloquant l'attaque juste à temps, remerciant la lune de briller ce soir, car sans elle, il n'aurait jamais vu l'ombre de l'épée. Le mousquetaire se battit alors avec l'homme et finit rapidement par le désarmer, car ivre mort, il ne faisait point un bon combattant. Un autre homme fonça sur lui, mais Ludovic le propulsa loin derrière, d'un puissant coup de poing dans le ventre. Le jeune homme remarqua alors avec satisfaction qu'Alban s'était occupé des deux autres. 

- Alors par quelles circonstances te retrouves-tu ici en pleine nuit avec ces bandits? Demanda de nouveau Ludovic en se tournant vers sa soeur.

Les chef des bandits s'attaqua à Alban qui bloqua son attaque sans problème. Un homme ivre qui est déjà moyen à l'épée ne fait pas le poids face à un mousquetaire acquéris. Le sous-lieutenant jeta un regard vers son compagnon légèrement intrigué. Apparemment, il connaissait la jeune fille. Alban reporta son attention sur son adversaire qui essayait de faire une feinte plutôt raté et le désarma d'un mouvement vif du poignet. Il bloqua ensuite l'attaque d'un deuxième homme qu'il mit hors de combat rapidement. Les quatre bandits, mis hors de combat, s'enfuirent sans demander leur reste.

Éris commençait à s'inquiéter sur ce qui allait ce passer. Elle était prise. Elle ne pouvait rien faire contre quatre homme et elle n'avait même pas d'armes pour se protéger! Quelle idiote elle fessait d'être venue à Paris sans arme. Ces à se moment que des bruits de course se firent entendre de l'autre côté de la rue. Les bandits se tournèrent vers les deux hommes qui venaient d'arriver, irrité par se contre-temps. Éris quant à elle respirait plus calmement.

- Et bien, messieurs, que vois-je? vous malmenez une enfant? Allons! Circulez et laissez la tranquille! Lâcha un homme en s'arrêtant à quelque pas du groupe.

La jeune fille se tourna vers son ''sauveteur'' providentiel légèrement vexée. Elle n'était pas une enfant! Son regard se posa alors sur le deuxième homme qui accompagnait celui qui venait de parler. Ludovic... Non, elle devait se tromper, ce ne pouvait pas être son frère.

- Éris! S'écria l'homme, surprit.

Éris ouvrit des yeux étonnée. C'était bien Ludovic! Un sourire apparut sur le visage de la jeune fille. Le mousquetaire, la rejoint aussitôt en bousculant les bandits et la serra dans ses bras, étreinte que la jeune fille rendit avec joie à son frère, heureuse de le revoir.

- Que fais-tu ici ma sœur? Demanda Ludovic avec étonnement.

Elle allait répondre lorsqu'un des agresseurs attaqua le jeune homme par derrière qui se défendit de justesse. Il le désarma rapidement sous le regard amusé de sa sœur qui n'était pas fâché de voir les bandits se faire remettre enfin à leur place.

** Voilà ce qui arrive lorsqu'on s'en prend aux de Bourgogne impunément.** Pensa-t-elle fièrement.

Un deuxième homme s'attaqua au mousquetaire qui le propulsa vers l'arrière d'un puissant coup de poing dans le ventre.

** Décidément, ces un trait de famille.** Pensa Éris en se rappelant la manière dont elle s'était dépris du chef des malfrats avec un de genou dans le ventre.

Les quatre hommes vaincu, Ludovic se retourna vers sa cadette.

- Alors par quelles circonstances te retrouves-tu ici en pleine nuit avec ces bandits? Demanda-t-il de nouveau.

Éris soupira avant de se décider à expliquer les circonstances qui l'avait emmené à faire ce voyage à Paris.

- C'est une longue histoire mon frère.. Commença-t-elle. Mais pour faire cour, j'ai eu un démêlé avec notre très cher père qui m'a emmené à quitter Artois...

Éris remarqua alors l'homme qui l'avait sauvé avec son frère et s'approcha de lui.

- Je vous remercie de m'avoir sauvé monsieur. Je me présente, Éris de Bourgogne.

L'homme s'inclina légèrement.

- Ce fut un plaisir. L'assura-t-il.

Éris soupira.

- C'est une longue histoire mon frère.. Commença-t-elle. Mais pour faire cour, j'ai eu un démêlé avec notre très cher père qui m'a emmené à quitter Artois...

Ludovic la regarda, encore plus intrigué.

- Je vous remercie de m'avoir sauvé monsieur. Je me présente, Éris de Bourgogne, dit sa petite soeur à Alban qui s'inclina légèrement.

- Ce fut un plaisir. L'assura ce dernier.

Ludovic avait plus que hâte d'apprendre les détails de cette visite inatendue de la part de sa soeur, mais il comprenait que ce n'était peut être pas le temps des explications.

- Alors j'imagine que ce n'est pas aujourd'hui que tu as l'intention de rentrer à la maison, ma soeur. Viens, nous allons trouver un endroit où tu pourra rester en sécurité, dit le jeune mousquetaire à Éris.

- Avez vous des propositions? demanda ensuite Ludovic à Alban concernant un lieu où Éris pourra rester temporairement.

Il avait déjà son idée bien sur, mais si le sous-lieutenant connaissait mieux, un endroit plus approprié pour une jeune fille comme Éris, sa proposition ne serait pas de refus.

- Alors j'imagine que ce n'est pas aujourd'hui que tu as l'intention de rentrer à la maison, ma soeur. Viens, nous allons trouver un endroit où tu pourra rester en sécurité, dit le jeune mousquetaire à Éris.

Éris posa un regard reconnaissant sur Ludovic. Son frère la connaissait bien et elle lui était d'autant plus reconnaissante de ne pas avoir insisté pour les explications. Elle lui donnerait les détails plus tard.

- Avez vous des propositions? demanda ensuite Ludovic à Alban concernant un lieu où Éris pourra rester temporairement.

Alban se plongea dans ses pensées. Il ne voyait qu'un endroit à Paris pour mettre une jeune fille en sécurité ''incognito'', mais il se doutait que l'option ne plairait pas à Ludovic nis à sa soeur. Néanmoins c'était la seule option qu'il voyait.

- La seule place que je voit est le couvent. Dit-il enfin.

- Le couvent des Feuillants ne se trouve pas très loin. Ajouta-t-il.

Éris posa un regard terrorisé sur Alban et ensuite sur Ludovic. Ils n'allaient pas la mettre au couvent tout de même?! Si?

- Mon frère... Murmura Éris. Tout de même? Pas le couvent. Il doit y avoir une autre solution...

- La seule place que je voit est le couvent. Dit Alban enfin.

- Le couvent des Feuillants ne se trouve pas très loin. Ajouta-t-il.

Éris posa un regard terrorisé sur Alban et ensuite sur Ludovic. Celui-ci soutint un moment le regard de sa soeur.

- Mon frère... Murmura Éris. Tout de même? Pas le couvent. Il doit y avoir une autre solution...

- Non, pas le couvent, trancha finalement Ludovic après un moment de réflexion.

- Vous ne connaissez pas de gens habitant ici qui pourraient héberger ma soeur en échange de quelques services et la faire passer pour...leur nièce ou quelque chose comme cela? demanda-t-il ensuite à Alban.

Si la réponse serait négative, Ludovic n'aurrait pas d'autre choix...que de l'amener avec lui.

- Vous ne connaissez pas de gens habitant ici qui pourraient héberger ma soeur en échange de quelques services et la faire passer pour...leur nièce ou quelque chose comme cela? demanda-t-il ensuite.

- Et bien... Commença Alban.

Il connaissait nombre de personne à Paris, mais la plupart étaient mousquetaires et ne pourraient donc pas héberger la jeune fille. Les autres... Cela se ferrait difficilement... À moins que... Oui. Ce serait possible, même très possible. Elle accepterait sans aucun doute.

- Il y a bien une personne de ma connaissance qui pourrait sans doute vous rendre ce service. Dit-il enfin. Je vais lui écrire ce soir et vous en reparlez demain.


HRJ: Oui! XD T'as deviné de qui je parle! Ça te va?

- Et bien... Commença Alban.

Ludovic s'accrocha à ses mots avec espoir.

- Il y a bien une personne de ma connaissance qui pourrait sans doute vous rendre ce service. Dit-il enfin. Je vais lui écrire ce soir et vous en reparlez demain.

Ludovic soupira de soulagement et sourit à sa soeur.

- Merci d'en faire autant pour nous, nous vous sommes vraiment reconnaissants. Je vais amener ma soeur avec moi pour aujourd'hui et demain vous saurez où nous trouver, dit le mousquetaire. 

Il prit la main d'Éris et l'entraîna avec lui.

HRJ: bien sur que sa me va! Nolwenn se fera un plaisir d'accueillir Éris!

Je clos